
SOS FRELONS44 DERATISATION DESINSECTISATION
Secteur d'intervention et déplacement
SOS FRELONS 44 intervient dans un rayon de 40 km autour de Plessé et sur le secteur de St Nazaire, Saint michel chef chef, Guérande ...

Le frelon asiatique
Le frelon asiatique (Vespa velutina nigrithorax) a été accidentellement introduit en France il y a une dizaine d'années. Redoutable prédateur d'abeilles, il est capable de réduire à néant une ruche en quelques jours.
Ses prélèvements sur la faune pollinisatrice peuvent aussi perturber
les productions végétales et agir directement sur la biodiversité et les richesses naturelles.
En terme de santé publique, il présente une menace sérieuse pour les personnes sensibles en raison de son mode de défense basé sur une riposte en nombre.Ses nids, qui peuvent se trouver n'importe où, comptent une quantité importante d'individus.
C'est cette diversité des supports, conjuguée à un mode d'agression particulièrement violent, qui induit une exposition aux risques nettement plus importante qu'avec le frelon
européen.
En décembre 2009, le Préfet de Région a mandaté la FDGDON 44 pour assurer le suivi de l'espèce.
Notre Fédération a donc lancé une campagne de sensibilisation auprès de tous les apiculteurs du département, des syndicats de rivières ou de marais, des collectivités, des fédérations de chasseurs,
pêcheurs, des particuliers, ...
Plus de 800 plaquettes ont ainsi été éditées
et distribuées.
La présence du frelon asiatique a été authentifiée pour la première fois sur notre
département en avril 2010.
En 2011, l'expansion du frelon asiatique s'est confirmée, avec 129 nids comptabilisés.
Pour 2012 et 2013, 689 et 822 nids étaient respectivement dénombrés sur notre département.
En 2014, la progression a été alarmante : 1 447 nids enregistrés, soit une augmentation
de 76% par rapport à l'année précédente.
Cette expansion s'est poursuivie en 2015 avec 1854 nids recensés



La dératisation
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La dératisation offre de nombreuses méthodes de luttes pour éradiquer les souris ou tuer les rats : une infestation de rongeurs n'est pas une fatalité.
On peut agir à titre préventif (conseillé) avant l'introduction des rongeurs dans les locaux ou les logements ou en curatif une fois que les signes d'une infestation sont présents.
Le piégeage des souris et des rats
Le piégeage est recommandé lorsque les substances toxiques sont inappropriées ou interdites. Cette méthode est adaptée pour les maisons, garages, et autres petites structures où il y a peut-être seulement quelques rats ou souris présents.
Le piégeage a plusieurs avantages:
- Utilisation de matières actives non toxiques
- Visualisation de sa réussite par la capture directe des rongeurs,
- Permet l'élimination des rongeurs pris au piège, évitant ainsi les problèmes d'odeurs qui pourrait se produire lorsque l'intoxication est faite dans les bâtiments.
Quelques-uns exemple de pièges Anti rongeurs professionnels que les applicateurs hygiénistes (dératiseur) utilisent :

La chenille procéssionnaire
La chenille processionnaire du pin est la larve d'un papillon de nuit, le Thaumetopoea pityocampa. Elle fait partie de l'ordre des Lépidoptères, de la famille des Notodontidae et de sous-famille des Thaumetopoeinae.
Le papillon qui est la forme "adulte" de la chenille, éclos durant l'été entre juin et septembre selon le climat.
La femelle papillon recherche un pin (pin noir d'Autriche, laricio de Corse, Salzman, pin de Monterey, maritime, sylvestre et pin d'Alep) et dans une moindre mesure un cèdre pour y pondre ses oeufs.
Les oeufs sont déposés en rangées parallèles par paquets de 150 à 320 formant un manchon gris argenté recouvert d'écailles, long de 2 à 5 centimètres sur les rameaux ou les aiguilles de pin.
Les papillons sont nocturnes et ne vivent généralement pas plus d'une nuit. Le papillon est gris avec des motifs noirs et des taches blanchâtres. Le mâle-papillon peut voler jusqu'à 50 km et 3 à 4 km seulement pour une femelle.
L'éclosion a lieu cinq à six semaines après la ponte. Elle donne naissance à des chenilles qui muent trois fois avant l'hiver à des dates variant selon la région probablement liées à l'humidité, à la température ainsi qu'à l'amplitude thermique. Les pics de température (chaud ou froid) peuvent stopper provisoirement l'alimentation de la chenille.
Plus on monte vers le nord et en altitude, plus la larve se développe lentement, en abrégeant la diapause nymphale.
Les jeunes chenilles tissent des pré-nid où elles passent la journée. Les larves commencent à manger le limbe des aiguilles de pin.
Ces premiers abris légers peuvent passer inaperçus. Attention, une touffe d'aiguilles qui jaunit en est la principale manifestation. Dès que la zone autour de leur abri n'offre plus assez de nourriture, les chenilles émigrent plus haut dans l'arbre et reforment un nouveau nid. C'est ainsi que par de belle journées ensoleillées, on peut les voir en procession sur le tronc ou les branches d'un pin. Elles vivent en colonies de plusieurs centaines de chenilles.
A ce stade, elles ne sont pas encore urticantes.
Au quatrième stade larvaire, elles forment un nid volumineux d'hiver définitif, construit côté sud pour profiter des rayons du soleil. Elle en sortent la nuit pour s'alimenter, se déplaçant en « procession » suivant un fil de soie qui leur permet de rentrer au nid. La cohésion de la file en déplacement est assurée par le contact de la tête d'une chenille avec les poils de l'abdomen de celle qui la précède. Grâce aux rayonnements solaires, la température à l'intérieur du nid peut être supérieure de plusieurs degrés à la température ambiante.
Au printemps, les chenilles en procession conduite par une femelle, quitte l'arbre pour aller s'enfouir dans le sol à quelques centimètres sous terre (5 à 20 cm) dans un endroit bien ensoleillé. Les processions peuvent se déplacer jusqu'à 40 m.
Les nymphes peuvent être transportées avec les végétaux dans leur milieu de croissance, infesté par des nymphes enterrées. Toute plante cultivée à proximité d'arbres infestés peut porter la nymphe dans son système racinaire. Chaque chenilles va tisser un cocon individuel dans lequel aura lieu la transformation en chrysalide puis en papillon. Le développement s'interrompt alors pour une durée variable, lors d'une diapause, qui durera jusqu'à un mois avant la date localement favorable pour la sortie des adultes. En cas de températures trop basses ou trop élevées au moment de la morphogenèse, la diapause peut durer plusieurs années (2 à 4 ans).
Les chrysalides transformées en papillon sortent de terre. Le cycle peut alors reprendre par accouplement de la femelle et du mâle qui meurt un ou deux jours après, alors que la femelle s'envole vers une branche pour pondre ses 70 à 300 oeufs avant de mourir aussi. Les petites chenilles éclosent 30 à 45 jours après la ponte
Cet insecte est connu pour le mode de déplacement de ses chenilles en file indienne. Elles se nourrissent des aiguilles de diverses espèces de pins mais aussi de cèdres, provoquant un affaiblissement important des arbres.
Les processionnaires du pin sont brunes avec des taches orangées. Recouvertes de poils, leur pouvoir urticant provient d'une fine poussière qui se détache de plaques situées sur le dos et la partie postérieure de la chenille.
Cycle Biologique
Le cycle biologique de cet insecte est annuel. On peut le présenter schématiquement en 8 étapes :
1. A partir de mi juin, un soir d'été, les papillons de la processionnaire sortent de terre. Mâles et femelles s'accouplent, puis les mâles meurent un ou deux jours après.
2. La femelle s'envole et dépose entre 70 et 300 oeufs sur les aiguillede pin. Puis elle meurt à son tour.
3. Les chenilles éclosent 30 à 45 jours après la ponte. Elles se nourrissent avec les aiguilles du pin, et sont reliées entre elles par un fil de soie.
4. Au cours de leur croissance, les chenilles changent de couleur et se couvrent de plus en plus de poils (jusqu'à 1 million).
5. Les chenilles construisent un abri en soie en automne, sur la branche d'un pin. Elles passent l'hiver dans cet abri, et ne sortent que la nuit pour entretenir leur nid et se nourrir.
6. Au printemps, la colonie conduite par une femelle quitte l'abri et se dirige vers le sol. C'est la procession de nymphose : toutes les chenilles se tiennent les unes aux autres et se déplacent en longue file. Une file peut compter quelques centaines de chenilles. Au bout de plusieurs jours, elles s'arrêtent dans un endroit bien ensoleillé et s'enfouissent dans le sol.
7. Deux semaines plus tard, toujours dans le sol, les processionnaires tissent des cocons individuels et se transforment en chrysalides. Elles restent dans cet état pendant plusieurs mois (ou parfois plusieurs années selon les régions).
8. Au bout de quelques mois, chaque chrysalide se métamorphose en papillon, toujours sous la terre. Et puis, un soir d'été, les papillons sortent de terre...